#GoodPeople : la very short interview de Lucas Colabella

Lucas Colabella

Energies transversales et complémentaires de l’agence, nos collaborateurs et partenaires sont les forces créatives et stratégiques des projets de chacun de nos clients. Rencontre avec Lucas Colabella, créatif infatigable @JPM


Hello Lucas, peux-tu te présenter en une phrase ?

Illustrateur depuis toujours, créatif depuis longtemps, graphiste depuis 20 ans, chez JPM depuis 2015.

En trois mots, comment décrirais-tu ta plus-value à l’agence ?

Trois mots ? Inventivité, sensibilité, curiosité… rigueur… abnégation.

Quels sont tes principaux défis professionnels ?

On vit à époque de la trouille du mot de travers, et cette trouille est multipliée par le nombre d’intervenants dans la « boucle ». C’est aux agences de com’ de « ragaillardir » les annonceurs, de les remettre en confiance. De toutes façon ces derniers n’ont plus le choix, ils sont en train de se faire doubler part des gamins de 15 ans avec leur téléphone portable, qui eux ont la trouille de rien.

Un coup de maître à l’agence ou ailleurs ?

Dans une autre vie la création de l’identité de la marque « France Toner » en 2003. C’est toujours l’exemple que j’utilise quand je veux expliquer aux gens mon métier. Mais plus récemment, les glaces « la Mémère » avec Arnaud Montebourg. J’aime ce qui a été fait… et comment ça a été fait : on était en face de quelqu’un qui savait qu’il ne savait pas faire, ce qui donne inévitablement aux créatifs des coudées plus franches. Le maître mot ici : la confiance.

Un budget coup de cœur à JPM ou ailleurs ?

Il faut vraiment se pencher sur les partenariats, en terme de rendus créatifs, entre les youtubeurs et les annonceurs tels que Raid Shadow legend ou Nord VPN. Ça respire la liberté et la spontanéité bref, ça respire, quoi.

Un conseil aux talents qui veulent rejoindre l’agence ?

Connaître sur le bout des doigts le jargon webmarketing tout en restant humble, ce qui est quasi impossible quand on sort de l’école.